PARRAINAGE

ORGANISATION INTERNATIONALE DE LA FRANCOPHONIE (OIF)
L’Organisation internationale de la Francophonie est une agence internationale de coopération créée en 1970. Elle regroupe 88 états et gouvernements –représentant 300 millions de personnes ayant le français en partage– qui souhaitent établir et entretenir des liens de coopération multilatéraux pour répondre ensemble aux défis des temps modernes. Plus spécifiquement, les buts principaux de la OIF sont :
• promouvoir la langue française et la diversité culturelle et linguistique;
• promouvoir la paix, la démocratie et les droits humains;
• appuyer l’éducation, la formation, l’enseignement supérieur et la recherche;
• développer la coopération économique au service du développement durable.
L’OIF est régi par la Charte de la Francophonie adoptée en 1992 et modifiée en 2006. Elle comporte trois instances politiques : le sommet des chefs d’État et de gouvernement, appelé aussi Sommet de la Francophonie, la Conférence ministérielle de la francophonie (CMF) et le Conseil permanent de la Francophonie (CPF).
AGENCE UNIVERSITAIRE DE LA FRANCOPHONIE (AUF)
L’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) est une association internationale d’enseignement supérieur et de recherche qui regroupe 1007 universités, grandes écoles, réseaux universitaires et centres de recherche scientifique qui travaillent en langue française dans 119 pays. Créée il y a 60 ans, elle est l’une des plus importantes associations d’établissements d’enseignement supérieur et de recherche au monde. L’AUF agit pour une francophonie universitaire engagée dans le développement économique, social et culturel des sociétés, toujours dans le respect de la diversité des cultures et des langues. Son but principal est de favoriser la solidarité et la collaboration entre les établissements d’enseignement supérieur et de recherche du réseau pour la mise en place de projets qui transforment concrètement le système universitaire.
Elle s’associe avec de nombreux partenaires : entreprises privées et leurs fondations, États et gouvernements, agences nationales d’aide au développement, organisations internationales, organisations non gouvernementales, et associations universitaires, scientifiques et culturelles. L’AUF dispose d’un réseau de 59 représentations locales dont le rôle est d’assurer le suivi et d’apporter conseils aux équipes qui travaillent sur des projets collaboratifs et faciliter le partage de bonnes pratiques, de l’expertise et des innovations. Les actions mises en œuvre par l’AUF contribuent au renforcement de la qualité de la formation et de la recherche, à l’amélioration de l’employabilité et de l’insertion professionnelle des diplômés et au renforcement du rôle des universités dans le développement économique, social et culturel des sociétés locales.
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CEPED
Le Centre Population et Développement, créé en 1988 à l’initiative du Ministère de la Coopération, est une Unité Mixte de Recherches (UMR) pluridisciplinaire en sciences sociales, ayant pour tutelle l’Université de Paris et l’Institut de recherches pour le développement. Au centre de ses préoccupations se trouvent les rapports entre populations et développement tels qu’ils évoluent en raison des changements sociaux, économiques et politiques, en particulier liés aux processus de mondialisation et caractéristiques des pays dits du Sud ou en développement.
Le CEPED s’organise autour de trois axes : (a) santé, vulnérabilités et relations de genre au Sud ; (b) migration, pouvoir, développement, et (c) éducation et savoirs au Sud. Ces axes contribuent leur regard différent sur des problématiques telles que la nouvelle division des espaces, des systèmes et des marchés, la croissance, souvent forte, des inégalités entre pays du Sud et au sein de chacun d’eux et les transformations qui affectent les systèmes sociaux.
La pluralité des perspectives et approches scientifiques adoptées conduit à un renouvellement du regard et de la réflexion sur la notion de développement qui tient compte de la synergie des facteurs démographiques, sociaux, économiques, politiques ou anthropologiques.
REPRESENTATION DE LA COMMISSION À CHYPRE)
La Représentation de la Commission européenne à Nicosie est un des 27 bureaux officiels représentant l’Union européenne dans les capitales des pays membres. Elle a pour mission: de soutenir la présidente et tous les membres de la Commission dans leur interaction avec Chypre; de promouvoir un dialogue politique continu avec les autorités nationales, régionales et locales, les parlements et tous les partenaires sociaux ainsi qu’avec le monde académique et la société civile.
Elle agit comme la voix de la Commission à Chypre et maintient des contacts avec les MMM et les media sociaux sur place; elle est en rapport direct avec les citoyens, le monde académique, la société civile, les partenaires sociaux et autres agents, et s’engage à participer à l’organisation d’événements, de discussions et d’autres activités concernant les priorités et les politiques de l’UE y compris dans le cadre de la Conférence pour l’avenir de l’Europe. Elle fournit aussi à la Présidente et aux membres de la Commission une expertise sur le pays, des analyses et des conseils concernant les développements politiques, économiques et sociaux à Chypre en vue d’informer l’élaboration des politiques et de la communication politique de l’UE.
FONDATION A. G. LEVENTIS
Établie en mai 1979, la fondation A. G. Leventis est le résultat de la vision de l’entrepreneur chypriote Anastasios G. Leventis (1902-1978); les objectifs principaux de l’action menée par la fondation sont centrés sur la société, l’éducation et la culture. Depuis des décennies, la Fondation contribue à l’étude des monuments historiques et à la conservation de l’héritage culturel de Chypre, de la Grèce et des communautés helléniques de la diaspora; elle a aussi établi des programmes de formation en agriculture et à la gestion durable des ressources environnementales en vue de la préservation de la biodiversité dans des pays africains comme le Ghana et le Nigéria; enfin, elle a investi à des actions de soutien à la recherche et aux jeunes chrcheur.es avec un système de bourses et d’aides financières aux jeunes Chypriotes. Plus récemment, la Fondation s’est orientée vers la recherche médicale. Cette nouvelle orientation inclut des campagnes pour l’éradication de maladies tropicales et pour la recherche concernant l’anémie drépanocyse et le soutien à la recherche.
SOUS-MINISTÈRE DU TOURISME
Le Sous-Ministère du Tourisme créé en 2018 est une autorité stratégique et de supervision habilitée à élaborer une stratégie nationale pour le tourisme et à promouvoir Chypre en tant que destination touristique. Il a les principales attributions suivantes :
– Établir, coordiner et mettre en œuvre une stratégie nationale intégrée pour le tourisme en utilisant les politiques horizontales nécessaires.
– Soutenir l’investissement dans le tourisme.
– Promouvoir la sensibilisation, l’éducation et la formation touristiques.
– Mettre en œuvre une législation touristique et encadrer le secteur touristique.
Le Sous-Ministère a mis en place une Stratégie nationale pour le tourisme 2030 en vue de développer le tourisme chypriote de manière durable et avoir un impact positif sur l’économie de l’île, la société et l’environnement. Cette vision va au-delà de la simple augmentation du nombre de touristes visitant l’île. Elle vise à développer Chypre comme une destination toute saison, à promouvoir Chypre en tant que destination de qualité en soutenant les investissements dans des produits d’intérêt particulier et en améliorant la compétitivité des prix et le rapport qualité-prix, et à développer l’île en tant que destination numériquement intelligente et en tant que lieu où tous les résidents peuvent profiter du tourisme.
INSTITUT FRANÇAIS DE CHYPRE
L’Institut français de Chypre, établi par la loi du 27 juillet 2010, est une institution culturelle internationale avec des agences locales, qui a pour vocation la diffusion de la langue et de la culture françaises en dehors de la France et le renforcement de la collaboration à travers des actions entreprises à de multiples niveaux. Plus précisément, l’Institut travaille à :
• promouvoir et diffuser la culture et la langue françaises à Chypre,
• faciliter les échanges culturels (arts plastiques et arts vivants), coproduire des spectacles en lien avec la création française, créer des partenariats avec des institutions ou des structures associatives locales,
• participer à la mobilité étudiante et à la promotion des études supérieures en France ou en français à Chypre,
• renforcer la coopération scientifique.
ΕΚΟ
EKO est une filiale de la compagnie pétrolière grecque Hellenic Petroleum International GmbH, qui est classée parmi les 100 premières compagnies pétrolières mondialement avec un cercle d’opération touchant 10 billion par an. Elle a une présence active dans plusieurs pays du sud-est européen. Ses activités principales sont commerciales, cependant la compagnie organise et participe à des actions de caractère social dans le cadre d’une philosophie de soutien de la communauté locale avec des actions de soutien financier dont bénéficient des groupes à haute vulnérabilité (enfants souffrant, personnes âgées etc.), les services de protection de l’environnement (corps de pompiers, service public de protection des forêts etc.), les services de santé publique (hôpitaux), et un système des subventions pour des événements scientifiques ainsi que des bourses.
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POCLANDE
POCLANDE (Populations, Cultures, Langues et Développement) est un réseau international de chercheurs, d’experts et de praticiens du Sud et du Nord. Ils ont en commun leur intérêt pour des questions liées au développement et cherchent à mobiliser pour les traiter des ressources linguistiques, anthropologiques et culturelles. Les modalités d’intervention du réseau s’étendent du partenariat avec des institutions qui s’occupent des questions de développement à l’encadrement et à la formation, aux actions sur le terrain, aux recherches-actions et aux évènements de réflexion scientifique (colloques, conférences, publications).
Le réseau œuvre pour une prise en compte des langues dans des problématiques liées au développement durable et à la réduction de la pauvreté et des inégalités, et vise à instaurer une linguistique pour le développement. Au centre de cette nouvelle linguistique se trouve une approche interculturelle qui cherche à valoriser les langues locales et à trouver les moyens de les sortir de leur confinement patrimonial et identitaire dans le but de créer des conditions favorables à la coexistence des langues occidentales et des savoirs nouveaux qu’elles véhiculent avec les langues locales et les connaissances traditionnelles.